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Entre ruelles et jardins partagés, un 30 mètres carrés délaissé se réinvente, guidé par le trait de Quentin Sommervogel. Dans ce fragment du 20ᵉ arrondissement de la capitale, l’architecte fait de la contrainte un manifeste intime à l’échelle du quotidien.


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Sur les photos du site Leboncoin, l’appartement ne payait pas de mine. Trois clichés sombres, un sol éventré, des murs décrépis. « Heureusement que ma compagne Muriel a eu la motivation d’aller le visiter, parce que moi, j’avais peur que ce soit une perte de temps », raconte Lucas ! Situé au septième étage d’un immeuble des années 1970 du 20ᵉ arrondissement de la capitale, le logement avait été squatté pendant deux ans après le décès du propriétaire. « Tout avait été enlevé — tapis de sol, parquet, etc. Les murs partaient littéralement en lambeaux ! »


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Au nord de Madrid, dans une construction des années 1980, l’agence gon-architects transforme un 40 mètres carrés cloisonné en un espace coloré et traversant.


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Direction le 13ᵉ arrondissement de la capitale, entre Tolbiac et la Butte-aux-Cailles, pour découvrir l’appartement lumineux signé par l’architecte d’intérieur et designeuse polyvalente, Pauline Ravier. Entre héritage 1900 et modernité assumée, ce cocon, qu’elle vient de céder, incarne parfaitement son sens du détail et de la matière.


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Quartier Jules-Joffrin, Paris 18e. Pour son premier achat, Julie voulait rester « à 100 mètres de sa vie d’avant » et, surtout, retrouver chaque soir ce sentiment précis : « aimer ce que je vois en rentrant à la maison ».


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Vue plongeante sur les toits de Paris, lumière à profusion et charme vintage des années 1970 : il n’en fallait pas davantage pour convaincre Briac de s’installer aux Batignolles. Restait à transformer ce grand studio de 50 mètres carrés, resté dans son jus, en un véritable cocon parisien, à la fois fonctionnel et chaleureux.


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La rencontre entre Charlotte, architecte et co-fondatrice d’Atelier Apara, et Maud, la propriétaire de ce 42 mètres carrés en reconversion d’ébéniste, s’est faite par un réseau d’amis architectes : un contexte qui installe d’emblée la confiance, nourrie par la sensibilité créative de Maud.


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Pour son premier achat, Benjamin mise sur un deux-pièces de 37 mètres carrés à Saint-Ouen. « Je cherchais à acheter, mais les prix à Paris m’ont vite poussé de l’autre côté du périph’, raconte-t-il. Saint-Ouen, je connaissais un peu, j’aimais son ambiance, ses immeubles à taille humaine… et puis c’est très bien desservi, je me déplace à vélo, donc ça ne changeait pas grand-chose à mon quotidien. »


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